J’ouvre les yeux et m’offre serein
À la lumière aimante du jour
Épousant la fraîcheur du matin
Souriant de mes membres lourds
Mais le corps aiguillonne l’esprit
Qui capitule sous les frissons
Reléguant l’imaginaire au souci
De fripes réchauffantes à foison
Au fur et à mesure que les couches
La peau à chair de poule réconfortent
Les neurones rétablissent, farouches
D’autres pensées dans la place forte
Et l’étendard est hissé joyeusement
Il arbore dans un cadre ovale
Ton doux visage se réjouissant
De mes émois, mes tirades matinales
Envolées depuis une haute tour
Du château conquis de mon Cœur
Aspirant sur des ailes de velours
Te toucher de mes joies, mes bonheurs
À la lumière aimante du jour
Épousant la fraîcheur du matin
Souriant de mes membres lourds
Mais le corps aiguillonne l’esprit
Qui capitule sous les frissons
Reléguant l’imaginaire au souci
De fripes réchauffantes à foison
Au fur et à mesure que les couches
La peau à chair de poule réconfortent
Les neurones rétablissent, farouches
D’autres pensées dans la place forte
Et l’étendard est hissé joyeusement
Il arbore dans un cadre ovale
Ton doux visage se réjouissant
De mes émois, mes tirades matinales
Envolées depuis une haute tour
Du château conquis de mon Cœur
Aspirant sur des ailes de velours
Te toucher de mes joies, mes bonheurs